Les tendances d’Antoine Berman appliquées à la traduction du roman Cet été-là de Véronique Olmi

Abstract

<span lang="FR"><span style="font-size: medium;">Cet article propose d'étudier la traduction du roman </span><em><span style="font-size: medium;">Cet été- là </span></em><span style="font-size: medium;">de Véronique Olmi; notre recherche porte sur les différences entre deux langues, les différences qu'on ne peut pas éviter et qui provoquent des différences entre le texte source et le </span></span><span lang="FR"><span style="font-size: medium;">texte cible. Notre travail a été guidé, au premier lieu, par le trajet traductologique d'Antoine Berman d'après son livre </span><em><span style="font-size: medium;">Pour une critique des traductions</span></em><strong><span style="font-size: medium;"> </span><em><span style="font-size: medium;">: </span></em></strong><em><span style="font-size: medium;">Donne John</span></em><span style="font-size: medium;"> et ensuite par les tendances présentées dans son ouvrage,</span><em><span style="font-size: medium;"> La traduction et la lettre ou l'auberge au lointain</span></em><span style="font-size: medium;">.</span></span> <span lang="FR"><span style="font-size: medium;">En analysant la traduction de ce livre, nous avons bien constaté que les tendances telles que la rationalisation, la clarification, l'allongement et l'ennoblissement sont beaucoup plus fréquentes que d'autres et cela représente bien la distance qui existe entre deux langues. C'est précisément le même écart qui rend la traduction assez différente du texte original et que plus les langues sont différentes, plus les traductions seront différentes.</span></span>